Bientôt des caisses automatiques dans les fast-food…

Bientôt dans tous vos fast-food, les caissiers seront bientôt remplacés par des machines automatiques pour la commande et le paiement. Une preuve de plus que cette soit disant nourriture n’est pas pour les humains puisque dans ces établissements, ils s’emploient justement le plus possible à faire disparaitre tout contact humain 😀

httpv://youtu.be/mfKbaX4jE9U

Chauffer sa maison par ordinateur(s)

Les supercalculateurs posent plusieurs soucis :

  • d’une part la place relativement importante qu’ils peuvent occuper, et donc qui engendre des coûts d’infrastructures et fonciers relativement importants.
  • d’autre part, les supercalculateurs chauffent énormément. C’est même un des coût principal de l’installation et surtout du fonctionnement de ces appareils car il faut obligatoirement les refroidir. Jusque là, la chaleur était évacuée par d’imposants climatiseurs

Partant du constat que à l’aire de la généralisation des réseaux haut-débit, le transport de données ne coutait pas grand chose et qu’il est possible dans une grande majorité de cas pour ces gros calculs de faire du calcul distribué (découper des tranches des éléments à calculer et les répartir sur plusieurs ordinateurs), la société Qarnot Computing à eu l’idée de concevoir un radiateur / ordinateur appelé Q.rad, pour le chauffage de maisons individuelles ou de bureaux. Ce radiateur particulier est en fait un ordinateur multiprocesseur dans lequel la chaleur dégagée par les processeurs est utilisée pour le chauffage.

Le radiateur / ordinateur de Qarnot Computing

Le radiateur / ordinateur de Qarnot Computing.

Ce radiateur est donc relié à internet aux serveur de l’entreprise pour télécharger les éléments à calculer qui vont être utilisés pour faire tourner les processeurs chauffants, et renvoyer ensuite le résultat des calculs à ces même serveurs. Chaque radiateur constitue alors la l’unité de base d’une « grille » d’ordinateur formant un supercalculateur dont la puissance est fonction du nombre de radiateurs mis en service et utilisés : plus il y a de radiateurs, plus la puissance de calcul est énorme. C’est le même principe que le projet « Seti @ Home » pour ceux qui avaient téléchargé l’écran de veille pour à la recherche de vie extraterrestre. ^^

Détail du radiateur Q.rad

1 – thermostat : régulation de la température 2 – prise réseau 3 – raccordement électrique 4 – dissipateur thermique 5 – carte mère 6 – processeurs performants et source de chaleur

La société propose donc l’installation de ses radiateurs et le remboursement de l’électricité consommée pour leur fonctionnement aux utilisateurs. La régulation de la température est modulée par la répartition des calculs. Le radiateur dispose aussi d’un mode de faible émission de chaleur pour pouvoir être utilisé même si le chauffage est inutile.

Par ce principe de calcul et chauffage distribué, Qarnot prévoit un coût quatre fois inférieur au coût de calcul standard. Une idée vraiment novatrice, démocratisant d’une part la puissance de calcul et peut être à envisager pour réduire la « précarité énergétique ».

Une vidéo de présentation :

Qarnot computing from Qarnot computing on Vimeo.

L’interview démontée par Vinza de Jérôme Cahuzac

Un détournement de l’interview de Jérôme Cahuzac par Jean-Francois Achili sur BFM TV par Vinza :

httpv://youtu.be/LJfCeP99l2o

Vous pouvez voir l’interview originale ici : http://www.bfmtv.com/video/bfmtv/politique/lintegrale-linterview-exclusive-bfmtv-rmc-jerome-cahuzac-16-04-121558/

Durex Fundawear : le début du sexe virtuel ?

Je viens de tomber sur cette vidéo publiée par « Durexperiment », laboratoire australien de la marque anglaise Durex :

httpv://youtu.be/qb7DN3kpl2o

Ainsi donc, Durex semble bien vouloir rejoindre la science-fiction avec un système de sous-vêtements spéciaux pouvant être activés à distance par smartphone faisant ressentir des stimuli électriques à l’intensité variable aux endroits voulus par le partenaire lorsque celui-ci effleure la zone représentée sur l’application mobile.

Le système relativement simple en fait, se compose d’une interface électronique reliée au smartphone et envoyant des impulsions électriques à des électrodes implantés aux « endroits stratégiques » sur le soutien-gorge et la culotte pour les femmes ou le boxer pour les hommes. Continuer la lecture

« Crack boursier » au lieu de « krach boursier » ?

Bon, j’abuse un peu dans le titre pour le jeu de mot, il s’agit de cocaïne pour le Professeur David Nutt.

En effet, ce professeur universitaire en neuropsychopharmacologie à l’Imperial College de Londre, et ancien référant du gouvernement a donné une interview dans le Sunday Times, en partie reprise dans The Indepandant. Il y déclare donc que « les banquiers prennent de la cocaïne et nous ont mis dans ce désordre terrible » parlant de la crise financière, rajoutant que la drogue les a conduit à des « excès de confiance » (« overconfident » dans le texte original), leur faisant prendre des risques exagérés.

Il affirme que la cocaïne est « parfaite » pour une « culture banquière d’exaltation et du toujours plus », la cocaïne étant une drogue du « toujours plus ». Il poursuit l’interview en déclarant que l’abus de cocaïne a conduit à l’effondrement du système financier actuel, ainsi que le krach de la banque Baring en 1995.

Même si il est loin d’être le premier à affirmer cela, et que on a tous en tête le cliché du trader se droguant pour tenir la pression, il faut savoir que le David Nutt est un personnage assez controversé : il a été limogé de son poste de conseiller du gouvernement en 2009 pour avoir déclaré que « il n’y a pas beaucoup de différences en terme de préjudices pour la santé entre monter à cheval et prendre de l’ecstasy » et que « l’ecstasy et le LSD ne sont pas plus dangereux que l’alcool ».

Sa dernière incursion dans le débat sur les drogues est tout aussi sujette à polémiques : la semaine dernière, il s’en est pris au gouvernement anglais à propos des lois relatives aux champignons hallucinogènes (interdits en 2005), au cannabis et l’ecstasy qui selon lui « entravent la recherche médicale », sont « absurdes » et « folles » en « empêchant de se procurer une substance – la psilocybine – utilisée pourtant pour traiter la dépression »…

À quand donc les contrôles anti-dopage et anti-drogue dans les banques ? 😀